Etant plutôt douillette, je n'ai jamais éprouvé de plaisir à me faire mal, mais je sais que se détruire peut être une façon de se sentir exister, même si c'est pas la plus saine ! Il faut relativiser et se dire que vivre n'est pas se faire du mal, et que quelque part, si on veut exister, on a besoin des autres.